Bras nus...
Je suis surprise d’avoir une retraite aussi agréable à Nice. Un oiseau de mauvais augure m’avait prédit, alors que j’étais jeune médecin en Moselle, une retraite catastrophique, financièrement insatisfaisante. J’avais donc un peu peur au tout début de ma retraite en débarquant à Nice en décembre 2005. En fait, la C.A.R.M.F, caisse de retraite des médecins français, me verse chaque trimestre de quoi être heureuse à Nice.
Me voici maintenant sur des rails … La mort peut attendre …
Ces jours-ci, début du trimestre justement, je suis allée, bras nus, faire les boutiques et des emplettes avec ma carte bleue.
Temps superbe. La crise financière, dont les J.T nous parlent, ne change rien encore à ma vie.